Description
Tant qu’à être naïfs, autant voir grand ! Ils ont vite compris que chanter dans leur langue maternelle serait la meilleure des voies pour parler de leur époque, livrer une vision du monde, communiquer des émotions, espérer une audience au-delà de leur Mayenne d’origine. Alors, forts d’avoir infusé la musique que leur père écoutait quand eux-mêmes révisaient leurs premières grammaires, ils se sont entichés de croiser la chanson française et la britpop, devenant par le fait même, dès 2007, une espèce de Shuttle (musical) entre la France et l’Angleterre – ce qui n’a pas manqué de mettre la puce à l’oreille de labels et directeurs artistiques férus de ce type d’hybridations : ils signent chez Sony Music en 2008.
Après, tout s’enchaîne. 5 albums entre 2009 et 2011 ; deux nominations aux Victoires de la Musique pour « Album révélation » pour Archimède puis « Album Rock » pour Trafalgar ; de multiple passages en radio avec des titres comme L’été revient, Le Bonheur, Je Prends, Julia, Ça Fly Away… ; plusieurs passage dans Taratata ; l’intérêt des critiques (deux fois double pages dans Libé, article dans Le Parisien, Ouest-France, Le Figaro, cf dossier de presse) ; collaboration avec Johnny Hallyday (A l’Abri du Monde), Aldebert, Bénabar, Dove Attia, Benoît Dorémus,…
Mais au fait, c’est quoi le principe – musical s’entend – d’Archimède ? Jouer de toutes les gammes, mêler les rengaines estivales et les ballades mélancoliques, les titres rageurs et les chansons plus intimes. Écouter un album d’Archimède, c’est toujours monter à bord d’un grand huit (émotionnel) !
Et ce sixième opus sera dans cette même lignée !
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